Par ici...le Concours de lettre.

Elle entra et déposa deux petites fioles sur la table

Doit on signer quelque part pour l'inscription à la dictée ?

Non,non,il suffit de vous inscrire auprès de moi.
J'en prend note Dame Muriel :1er canditate ...frais d'inscription :payé.

Moi, ça fait un moment que je t'ai envoyé mon contrat, mais tu ne l'a toujours pas accepté !

J'attendais que tu passe ici

Seigneur Guizzal: 2eme candidats...frais d'inscription: payé

je veux bien participer a ton petit concour ...

Seigneur aza Necrarch: 3eme candidats...frais d'inscription: Payé

un messagé vint donner une missive a Zora,puis reparti.
Zora la lu.

Turambar a écrit:

C'est pas la foule ici
Je veux bien participer, et comme dit à la cour, j'offre 2000 sous au vainqueur, ca fera peut-être venir du monde

Seigneur Turambar: 4eme candidats...frais d'inscription:Offre 2000 s au vainqueur.

Nouvelle cagnotte: 2100 sous.

Bonsoir a toutes et a tous,
je vais donc vous lire se soir un texte ,qui vous prendra environs 10 minutes,pour l'écrire.
J'espere que vous avez bien pensés a vos plumes et encriers
Pour ceux qui non pas encore payée l'inscription, merci de ne pas oublier de me l'envoyer avec la missive.

Bonne chance.(hj:cliquez sur ce lien)
http://www.cce.umontreal.ca/audio/Dicteecomplete.mp3

Fait !

[HJ: Et sans utiliser Word, s'il vous plait !]

Tiens quelque chose qui vient de mon coins de pays. (J'Y SUIS ALLÉ À L'UNIVERSITÉ DE MONTREAL' HE OUI)

Voilà Dame Zora je vous rends ma copie. Ce n'est pas un sujet facile que vous nous aviez choisi.

Enfin quoi, j'ai pu y participer...

Ceci étant, l'absence complète de liaison rend le travail mal aisé et pas aussi francophone qu'l aurait dû l'être...

Concernant la notation, celle de rigueur dans feues les dictées de Bernard Pivot était la suivante, et te propose de la conserver (libre à toi):

> Pas de prise en compte de la ponctuation et des majuscules (et sans poctuation, là, c'est un must!).

> Demi-faute pour les accents et tirets.

> Faute complète sinon.

> Non répercussion des fautes en cas de répéttion d'une même faute (un accord à deux éléments manqué ne compte que pour une faute).

Bon courage pour la correction. Ah, oui, je te fais parvenir le contrat au plus tôt.

Zora ramassa les parchemins,avec un p'tit sourire en coin...
Ne vous inquiétez pas, seigneur Necrarch....c'est bien de cette façon que je corrigerais les dictées. Je vous donnerais les resultats en fin de saison,en esperant que la gestion de ma cité ,ne me prenne pas trop de temps.

Cessez un peu d'être pointilleux et venez vous promener un peu avec moi, j'ai besoin de prendre un peu l'air après toute ces réflexions.

Mais, avec plaisir, mon aimée! Je suis désolé d'être si peu présent, ces derniers temps... Tant à faire...

Prenant son bras

Ne vous inquiétez pas je ne vous en veut pas

aza s'était évanouie avant la fin de la dictée...sans doute le manque d'alcool ...

(hrp/ j'ai trop galéré ...désolé !/hrp)

zora aida aza a se relever..
La prochaine fois je mettrais a disposition des candidats un tonneau de biere,pour éviter une déshydratation...
Mais attention ,car qui bois sans soif...vomi sans éffort .

pour ca je suis roddé ...

Zora ,après ces quelques plaisanteries avec aza,redonna les parchemins corrigés.Puis retourna un tableau,ou elle avait recopié la dictée. Pour que tous puissent voir la dictée correctement écrite
Résultat :Deux ex aequo Les seigneurs Necrarch et Guizzal avec 12 fautes ,et Dame Muriel avec 36 fautes.
Un grand bravo a tous les trois.
Une question vous sera donc posé pour vous départager avant la fin de la saison.

Citation :

"UN MARMITON DÉCONFIT"
Comme tous les mardis soir, Olivier était rentré du travail avant sa femme, qui assistait à son cours d’aquarelle. Quelque interminables que lui paraissent les moments sans sa tendre moitié, il essaie toujours de les occuper de son mieux en se plongeant dans un livre. Mais, ce soir-là, il s’adonnait à une tout autre activité...

Lorsque sa femme et lui s’étaient partagé les tâches ménagères, c’est elle qui s’était vu confier celle de préparer les repas car, malgré toute la bonne volonté d’Olivier et son penchant pour les petits plats bien mijotés, Dieu sait qu’il en avait raté plus d’un alors qu’il était célibataire. La surprise qu’il avait décidé de lui réserver consistait donc à concocter un dîner qui soit digne d’elle.

Sa femme avait en effet de grands talents de cuisinière, et ni les saumons en papillote, ni les escalopes de veau, ni les bavettes à l’échalote n’avaient de secret(s) pour elle. Elle avait des goûts culinaires très éclectiques, qui allaient des gaufrettes à la vanille aux abattis en sauce sans oublier la chiffonnade de laitue, et elle passait de la sarriette à la cassonade avec une facilité déconcertante.

Olivier, quant à lui, moulait le café correctement et savait reconnaître le moment où l’eau bout pour y jeter des nouilles ; mais sa compétence culinaire s’arrêtait là. Il avait pourtant de grandes ambitions et aspirait de toutes ses forces à devenir un chef réputé : il savait qu’un jour, il cuirait les viandes à point, assaisonnerait les légumes, confirait les fruits et maîtriserait l’art de la pâtisserie. D’ici là, il lui fallait réussir à réchauffer ce reste de lasagne(s) qu’il avait mis au menu...

Son plus grand rêve était de devenir un grand cordon-bleu, de savoir apprêter le contre-filet aussi bien que le filet mignon ; bref, de faire plus que seulement récurer les lèchefrites...

Pendant que la lasagne était au four, il observait avec convoitise le jus de tomate, l’huile d’arachide et la pâte d’amandes rangés dans l’armoire et s’imaginait déjà les transformant en coulis de courgettes, en vinaigrette(s) aux fines herbes ou en pâtisserie(s) fine(s).

Il feuilletait les livres de recettes où se côtoyaient les râbles de lapin, les chateaubriands aux pommes et les ragoûts d’agneau qui feraient un jour de lui un cuistot apprécié.

Même les banals sandwich(e)s aux tomates qu’il emportait au travail en guise de casse-croûte changeraient de goût : il les agrémenterait dorénavant de coriandre moulue et de feta fraîchement achetée.

Il se disait que, le jour où il accéderait à la gloire des grands cuisiniers, il n’accaparerait pas tous les mérites et les partagerait plutôt avec sa femme, sa principale source d’inspiration, quand il perçut une curieuse odeur de brûlé qui se répandait graduellement dans toute la maison. Il se rappela tout à coup la lasagne qui était au four depuis une heure. Et, lorsqu’il vit le plat de pâtes à demi calciné(es), il dut se résigner à ouvrir une boîte de macaroni(s) du commerce pour pallier ce désastre. Si sa femme se régala sincèrement de ce mets qu’elle n’avait pas préparé, Olivier eut beaucoup de difficulté(s) à digérer sa cuisante déconfiture...

12 fautes ??

Tu peux me dire lesquelles, stp ?

Ben la t'en demande pas mal, tu compares ton texte avec celui ci.

Alors guizzou une biere par faute.

je te dois 100 sous grand seigneur ...
je te donne en biere ?

Ben je me rappelle pu, mais le "lèchefrite", là, jamais entendu parler !