Par ici...le Concours de lettre.

j'ai demandé a ma mere grand ..
c'est dans les fours ! pour récupéré la sauce ...le gras !

moi j'avais trouvé "riz curie" et lèche frites je trouvé pas

Voici quelques explications sur certaines des erreurs faites .

Citation :

tous les mardis soir : dans cette expression, soir s’écrit au singulier parce qu’on sous-entend « tous les mardis, le soir »

Quelque interminables que : dans la locution quelque ... que, lorsque quelque précède un adjectif, il est adverbe, donc invariable ; il ne s’élide que devant un ou une

une tout autre activité : dans tout autre, tout reste invariable s’il peut être remplacé par tout à fait, comme c’est le cas ici

sa femme et lui s’étaient partagé les tâches : le participe passé des verbes accidentellement pronominaux s’accorde avec le complément direct si celui-ci est placé avant le verbe ; or ici le complément direct, tâches, est placé après, d’où l’invariabilité.

les saumons en papillote : ici, papillote désigne le papier qui entoure le poisson lors de la cuisson ; il s’écrit au singulier parce qu’il n’y a qu’un papier par poisson.

confirait les fruits : il s’agit bien du verbe confire, c’est-à-dire « conserver des aliments par des produits appropriés », et non pas du verbe confier ; comme pour tous les verbes en –re, on forme le conditionnel de confire en remplaçant le e par la terminaison, ici, -ait

jus de tomate : dans cette expression, tomate est au singulier, comme c’est souvent le cas du complément de jus

pâte d’amandes : cette fois, le complément de pâte est au pluriel ; il faut plusieurs amandes pour former de la pâte

coulis de courgettes : contrairement aux compléments de jus, ceux de coulis sont au pluriel

le plat de pâtes : pâtes doit être au pluriel parce qu’il s’agit de pâtes alimentaires, la lasagne, et non d’une préparation plus ou moins consistante qu’on fait cuire (comme la pâte à tarte)

pallier : le verbe pallier, au sens de « résoudre de manière provisoire », s’écrit avec deux l ; il ne faut pas le confondre avec le nom palier, qui est « une plateforme au milieu d’un escalier » et qui s’écrit avec un seul l

faut pas travailler comme ca zora ...tu va pas tenir le coup !!
tien prend une biere ..

Avec plaisir...j'suis .. ....il me faut bien plusieurs bieres pour retrouver mes esprits

T'es trop gentil......merci aza

tu t'occupe d'organiser ..et je m'occupe de toi ..
une autre pour la plus belle de la guilde !!

Moi, j'veux qand même bien ma copie, avec les fautes en rouge !

En publique ou en privé pour ta copie

Pas du rouge à lèvre, mais de l'encre rouge pour les fautes.
Ces jeunes, il faut tout expliquer

36 fautes c'est la honte quand même à l'école je serais recaler...

M'enfin y a des passages ou je n'avais pas compris ça du coup quand on comprend banane à la place de banals ça fait une faute. Pas de regret tout de même sariette je savais pas l'écrire et je me suis planté. Ce serait intéressant quand même de voir les copies corrigées parce que certaines fautes m'échappent.

Les inscriptions sont closes pour la prochaine dictée?
Cela m'intérésserait bien!

La diction est mauvaise, et l'absence de liaisons est une honte pour une dictée de ci niveau... Enfin, je ne vais pas me plaindre.

Pour la feta, après trois écoutes, j'ai écrit "sèchement" achetée, puisque c'est ce que j'entendais, bien que "fraîchement" me paraissait plus logique. Même chose pour essaie où j'entends "laissait".

Dans les deux cas, j'ai cru à des canadianismes.

Pour départager, afin que ce ne soit pas nécessairement le plus rapide qui réponde (sinon, je n'ai aucune chance contre Guizzal, il est fondateur ici, quand même!), je propose une séance de "tirs au but", en mort subite. Chacun reçoit une question différente à tour de rôle. S'il répond juste, l'autre doit en faire autant pour passer au second shoot, sinon perd; s'il répond faux, si l'autre répond juste, il gagne, sinon, on passe au deuxième tir, etc.

Je fais le listing de mes fautes au prochain post.

Necrarch: les fautes (inutile donc de me rendre ma copie: je l'ai corrigée moi-même).

> laissait / essaie
> papillotes / papillote
> ecclectiques / éclectiques
> chiffonade / chiffonnade
> sariette / sarriette
> assaisonerait / assaisonnerait
> cordon-bleu / cordon bleu (1/2 f)
> lèche-frites / lèchefrites
> pâte d'amande / pâte d'amandes
> coulis de courgette / de courgettes
> Châteaubriand / chateaubriands (1 f et demie: accent et pluriel)
> sèchement / fraîchement

Ca fait bien 12.

En dehors des écoutes, je n'ai aucune faute d'accord ou de grammaire, ce qui est déjà en soit une performance pas mal...

J'ai hésité longuement sur les "éclectiques" (la peste soit des ecclésisatiques!), le deuxième "n" de la chiffonnade et de l'assaisonnement, le deuxième "t" de la sarriette, le pluriel des courgettes... Pas de bol, faut croire.

Lèchefrites, je ne connaissais pas non plus.

Quelques grosses surprises cependant: la pluralisation de la pâte d'amandes, des chateaubriands et pas celles des papillotes. Bon, ben, tant pis

Quoiqu'il en soit, merci à Zora pour l'oganisation. La dictée elle-même était bien chouette...

Necrarch a écrit:

une dictée de ci niveau

Necrarch a écrit:

le deuxième "t" de la sarriette

Il fallait bien sûr lire de "ce" niveau, et deuxième "r" dans les deux posts précédents. J'ai bien vérifié les fautes de frappe lors de la dictée, mais là...

Merci Necrarch...(hj :désolé pour le son...j'ai pas trouvé mieux.)
Euh...une prochaine dictée.... ben je pense pas pour tous de suite ...sa demande du temps et de l'organisation....j'suis pas très motivée la.
Mais j'ai d' autres idées pour vous faire passer le temps

Pour vous dame Muriel (en rouge )et seigneur guizzal (mot souligné)...Voici vos erreurs:
(hj:vous me donnez du boulot supplementaire,j'avais fais les corrections sur papier...mais bon.... )

Un assistant déconfit

Comme tous les mardi soir, Olivier était rentré du travail, avant sa femme, qui assistait à son cours d'aquarelle. Quelqu' interminable que lui paraîsse les moments sans sa tendre moitié, il essai toujours de les occuper de son mieux en se plongeant dans un livre. Mais, ce soir là, il s'adonnait à une tout autre activité. Lorsque sa femme et lui s'étaient partagés les tâches ménagères, c'est elle qui s'était vu confier cell de préparer les repas, car, malgré toute la bonne volonté d'Olivier, et son penchant pour les petits plats bien mijotés, dieu sait qu'il en avait rêvé plus d'un alors qu'il était célibataire, la surprise qu'il avait décidé de lui réserver, consistait donc, à concocter un dîner qui soit digne d'elle. Sa femme avait en effet, de grand talent de cuisinière, et ni les saumons en papillotte, ni les escalopes de veau, ni les bavettes à l'échalotte n'avaient de secret pour elle. Elle avait des goûts culinaires très éclectique qui allaient des gaufrettes à la vanille aux abattis en sauce sans oublier la chiffonade de laitue, et elle passait de la sarièthe à la cassonade avec une facilté déconcertante. Olivier, quant à lui, moulait le café correctement, et savait reconnaître le moment où l'eau bouille pour jeter des nouilles, mais sa compétence culinaire s'arrêtait là. Il avait pourtant de grandes ambitions et aspirait de toutes ses forces à devenir un chef réputé. Il savait qu'un jour, il cuirait les viandes à point, assaisonnerait les légumes, confierait les fruits et maîtriserait l'art de la pâtisserie. D'ici là, il lui fallait réussir à réchauffer ce reste de lasagne qu'il avait mis au menu. Son plus grand rêve était de devenir un grand cordon bleu, de savoir apprêter le contre-filet aussi bien que le filet mignon, bref, de faire plus que seulement les cuire et les jeter. Pendant que la lasgne était au four, il observait avec convoîtise le jus de tomate, l'huile d'arachide et la pâte d'amande rangés dans l'armoire, et s'imaginait déjà les transformant en coulis de courgette, en vinaigrette aux fines herbes ou en pâtisserie fine. Il feuilletait les livres de recette, où se cottoyaient les râbles de lapin, les châteaubriands aux pommes et les ragoûts d'agneau qui feraient un jour de lui un cuistot accomplit. Mêmes les bananes et sandwich aux tomates qu'il emportait au travail, en guise de casse-croûte, changeraient de goût s'il les agrémentait dorénavant de coriandre moulue et de féta fraichement achetée. Il se disait que, le jour où il accèderait à la gloire des grands cuisiniers, il n'accaparerait pas tous les mérites, et les partagerait plutôt avec sa femme, sa principale source d'inspiration, quand il perçut une curieuse odeur de brûler qui se répendait graduellement dans toute la maison. Il se rappela tout à coup, la lasagne qui était au four depuis une heure, et, lorsqu'il vit le plat de patte à demi calciné, il dû se résigner à ouvrir une boîte de macaroni du commerce pour palier se désastre. Si sa femme se régala sincèremment de ce met qu'elle n'avait pas préparé, Olivier eut beaucoup de difficulté à diggérer sa cuisante déconfiture...

Zora a écrit:

seigneur guizzal (mot souligné)...Voici vos erreurs:



Comme tous les mardi soir...

meme moi je ne m'y serais trompé !

Zora regarda aza avec de gros yeux,pour désaprouver sa remarque....
C'est pas gentil de se moquer, qu'en on a pas participé.
mais bon..tu veras bien avec Guizzal

j'ai fais ...mais c'est le brouillon ...


j'ai pas eu le temps de faire la faire au propre ..


(hj/j'ai fais sur pappier ...tu veux que je scan ? )

(euh....non merci ,j'en ai fini avec le marmiton )

Zora, t'as juste souligné, pas corrigé. Du coup, je comprends pas certaines fautes !

Et "moulait" le café, c'est juste ? Sont fous ces Québécois !!

Tu veux pas mettre la correction entre parenthèses, à côté des mots faux ? (quand t'auras le temps, bien sûr ! )

Ce qui me fait plaisir c'est que Guizzou a compris la même chose que moi pour les cuire et les jeter

Je constate également qu'à la fin cela se voit que je commençais à trouver la dictée longue mais bon c'est le jeu manque de concentration tant pis pour moi....

Je pense qu'en retirant les fautes d'inattention, mon amour, tu ne derais guère loin de moi...

Moudre le café, tu ne connais pas, Guizzounichet?

Je mouds, tu mouds...
Je moulais, tu moulais...

Pour récurer les lèchefrites, c'est pas très glorieux... Mais je l'ai écrit en deux mots, et ai eu d'autres fautes d'écoute, je ne rajouterai donc rien. Le marmiton était vraiment inaudible...

Le verbe, c'est confire les fruits, pas confier... et le pronominal (ils étaient partagé les tâches...) fait très mal: COD placé derrière, pas d'accord (les pronominaux, ce sont les pires...).

Enfin, personne n'a eu bon à la sarriette.

Pour la sarriette c'est normal y en a pas dans ma cuisine ...

Pour les fautes d'inattention il n'y a malheureusement pas que ça, je n'ai actuellement que 6/10 à chaque oeil. Maigre consolation l'école est maintenant loin derrière moi et mon avenir ne dépends pas de cette dictée. Dorénavant quand j'aurais une lettre à écrire je vous l'a dicterait... non ?!