Quinze ans de Révolution à Ost-Berlin

Aujourd'hui Ost-Berlin fête les 15 ans de la Révolution Prolétarienne qui a rendu la plénitude du pouvoir à son Peuple.
Bien évidemment, des festivvités officielles ont été organisées dans toute la cité de même que dans ses ambasassades. Les gens du Peuple ne sont pas en reste: un peu partout dans la cité de nombreuses manifestations sont organisées. Les drapeaux rouges flottent par centaines au dessus des toits.
De grandes banderoles comme celle-ci :



ont été affichées aux entrées de la ville. Et des centaines de reproductions (en format réduits) ont été mises à la disposition de tous les citoyens.
De nombreuses commérmorations ont été organisées en l'honneur des héros, morts et vivants, qui ont participés aux évènments historiques de cette époque déjà lointaine et en ce jour si proche.

Les féstivités s'étaleront surtoute cette saison 115 et s'achevera par discours de moi-même En attendant vous êtes tous invités à Ost-Berlin, mon Peuple vous attend avec impatience.

Vous faites de la bonne bière? Ne bougez-pas, j'arrive!!!

Non mais on en a importer suffisemment pour tenir au moins 5 tours

Et bé, il va en falloir de la bière! Tous à Ost-Berlin!

Hum... J'hésite à laisser ma cité entre les mains de la protection MW... Mais j'arrive ^^

"Sur le chemin du retour , Dame hibiki, s'arrête dans le village de Redguard pour assister à la fête.
Nuttella et Azertyup on l'air époustoufler par l'ambiance."

Bien le bonjours ou le bonsoir Messire Rothka et Dame Makasyco.
Va falloir en prévoir de la bière.

De la bière à gogo??? Mais faut que je me bouge moi!!!

de la bière?
une fête?
des discours?
ouéééééééééééééé allez aza, tu viens? on va faire la fiestaaaaaaa. Hibiki on peut se balader seuls? (comme des grands )

heu ... le village ?
Ost-Berlin compte presque 6000 habitants et a atteint le rang de cité majeure excusez du peu heheheh
Puis vous en faites pas pour la nbière elle coulera à flot pendant toute cette saison : on a pas tous les jours 15 ans

d'accord Nut, mais pas trop de bêtises quand même toi et aza.

Veuillez excuser Messire Redguard mon incorrigible emploie de mots.

Rothka arriva sur ces entrefaits et demanda à Hibiki où pouvait bien se cacher dame Makasyco car il souhaitait ardemment lui offrir un verre à boire. Par la même occasion, voyant Redguard dans les parages, il s'enquit auprès de lui du lieu de leur couchage, lui demandant au passage, s'il avait prévu des chambres pour couples car il espérait bien ne pas passer la nuit sseul mais en la charmante compagnie de dame Makasyco citée plus haut.

Dame Hibiki savait où se trouvait Dame Makasyco et alla la chercher.
Dame Makasyco, quelques minutes plus tard entra dans la taverne et se dirigea vers le seigneur Rothka.

J'ai su par Dame Hibiki que vous cherchiez à me voir pour m'offrir à boire et rester en ma compagnie. J'accepte avec plaisir un verre. Nous pourrons ainsi discuter de ce que nous ferons.

chic plein de bière
aza?? t'es où? azaaaaaaaa bon euh je vais me balader deux secondes

Le service étant très long à cause du nombre de Dames et Seigneurs qui se trouvaient dans la taverne, Le seigneur Rothka se proposa d'aller chercher à boire. Mais, en revenant vers Dame Makasyco avec un verre à chaque main, il voit celle-ci, discuter avec Dame Jillian (au fait un seigneur déguisé en Dame). Le seigneur Rothka s'approcha discrètement et entend la conversation. Il repartit avec ses deux verres dans les mains et les offra au tavernier puis sorti de la taverne, d'un air très triste.

Dame Makasyco, ne comprenant pas pourquoi le seigneur Rothka n'était pas revenu, se leva de table, apres avoir chassé Jillian, et se mit à sa recherche. Elle se dirigea vers le bar et demanda au tavernier s'il avait vu le seigneur Rothka. Celui-ci lui répondit qu'il était sorti, l'air très triste.

Dame Makasyco sortit aussitot, marcha quelques pas et trouva le seigneur Rothka, dos contre un arbre regardant le ciel. Elle s'approcha de lui et lui demanda pourquoi il était parti si vite. Le seigneur Rothka lui dit qu'il a entendu les avances de Jillian, et tout ce qu'elle (ou il) avait dit de malsain à son sujet. Il craignait que Dame Makasyco ne veuille plus de lui.

Dame Makasyco sourit et le rassura: Vous savez, je suis perspicace et j'ai bien vu que Jillian cherchait à vous nuire par tous les moyens !
Mais je vous connais seigneur, et je ne me laisse pas influencer par des dires mensongers. Faites moi confiance, et ne fuyez plus. Vais-je enfin pouvoir passer la soirée à vos cotés? Prenez moi dans vos bras.

Comment pourrai-je vous dire la sincérité de mes sentiments à votre égard, Madame. Je ne pouvais supporter que cette vile créature pose le regard sur vous. Hélas, elle possède une puissante cité et je ne pourrai venger l'affront qu'elle vous a fait. Mon coeur est heureux que vous soyez venue me rejoindre. Voulez-vous vous promener à mes côtés sur le rempart au clair de lune. La nuit est douce, vous n'aurez pas froid.
Donnez moi votre main, Ma dame, Que je puisse caresser tendrement ces jolis doigts et allons ensemble si vous le voulez bien. Nous pourrons ainsi deviser tranquillement des douces choses de l'amour.

Ce soir là, Ost-Berlin resplendissait de ses plus belles couleurs. Les drapeauxx rouges flottaient par centaines sur les toits de la cité, les rues étaient remplie de simple citoyens à l'humeur bien plus que joyeuse.
Avant leur venue, les Seigneurs membres des Damnés avaient reçu un carton d'invitation officiel leur indiquant l'adresse exacte du Palais du Peuple, là où leur hôte les attendait. Ils suivirent donc du mieu qu'il purent ce plan tracé à l'encre rouge sur le carton de qualité artisanale.
Le Palais du Peuple était situé au 1er Place du Peuple, place que le Royaume entier avait découvert lors de la réception de Phaëton, ex-Archiduc de Tigane et Père de la Nation dans le coeur de chacun des Berlinois. Quattres grandes arretères y menaient : de l'Est arrivait l'Avenue du Vent de l'Est, de l'Ouest, l'Avenue de la Révolution, du Nord l'Avenue du Peuple et du Sud, le boulevard des Pioniers. Empruntant, l'une de ces avenues, ils débouchèrent aux quattre coins de la place et appercurent, tronant en son centre, la colone du Peuple symbolisant à la fois l'unité et la diversité du Peuple d'Ost-Berlin.
Le palais du Peuple était bordé par l'Avenue du Vent de l'Est et l'Avenue de la révolution, c'était un batiment aux dimensions imposasntes. Tout l'appareil d'Etat Ost-Berlinois y était concentré : les deux Assemblées, les ministères, les secrétairie d'Etat, un certain nombre d'ambassades et même une prefecture.
Redguard attendait ses hôte sur le perron à colonade et à fronton (sur lequel on pouvais lire la dédicasse "Dem Berliner Volk"). Les acceuillant chaleureusement, il leur montra d'abord la plaque dorée placée à l'entrée en l'honneur du Seigneur Phaëton depuis le Tour 100. Ils passèrent rapidement d'aile en aile, passant successivement devant les différentes administrations qui avaient leurs siège sur place.
Redguard leur montra son bureau, une pièce assez austère d'a peine neuf mètres carrés. Un peu surpris, les seigneurs se demandèrent quelle genre de chambre pouvait offrir une République qui fournit un bureau de neuf mètre carré à son président.
Il passèrent ensuite de l'aile "politique" à l'aile logement du bâtiment. Des chambes étaient toujours disponible pour n'importe quel citoyen de la ville mais cette fois ci une bonne partie d'entres elles avait été réservée au bénéfice des invités.
Les chambres étaient très spacieuses, la décoration était simple. Evidemment, d'inévitables banderoles de propagande rapellaient les principes qui régissaient le gouvernement d'Ost-Berlin, mais elles disposaient en outre de tout le confort moderne.
Redguard leur expliqua ensuite qu'il se retrouverai dans quelques heures. Ne disposant pas de logement de fonction à l'intérieur comme à l'extérieur du Palais, il était dans l'obligation de retourner chez lui pour reprendre quelques heures de sommeil. Le souhaitant une agréable fin de soirée, il les quitta sans oublier de repasser par son bureau, par celui le Commision Gouvernementale Permanente, et celui des deux Assemblées. Il habitait une petite demeure à 2 étages dans la petite rue Karl Marx.